Smartphones : Bruxelles présente son indice de réparabilité

Cette indice de réparabilité doit participer à l’atteinte de trois objectifs :

  1. faciliter la réparation et augmenter la durabilité de ces produits et de leurs composants clés ;
  2. permettre des économies de matériaux et d’énergie ;
  3. aider les consommateurs à acheter des appareils durables.

La grande nouveauté concerne, d’abord, l’ajout d’un score de réparabilité, noté de A (pour les plus efficaces) à E et qui prend en compte six critères : trois notes relatives au caractère démontable ; une note relative à la disponibilité d’une quinzaine de pièces détachées ; une note relative à la durée de fourniture des mises à jour des logiciels ; et une note basée sur la mise à disposition de la documentation technique.

Des batteries de qualité ou remplaçables

La future étiquette affichera aussi les performances de la batterie. Les performances seront aussi basées sur le nombre de recharges possibles avant que la capacité de recharge ne chute à 80 % de la capacité initiale.

Autre critère : le nombre de chutes répétées que l’appareil peut supporter tout en continuant à fonctionner. Les plus robustes (notés A) devront supporter 300 chutes. À l’opposé, la note E sera attribuée aux produits résistant à moins de 50 chutes. Dans le même esprit, la robustesse des smartphones sera évaluée sur la base de leur capacité à résister à la poussière et l’eau.

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